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Pirates de Batavia – “PIRATEN BATAVIA” 2020

 Appréciation des parents

« Pirates de Batavia » est une spectaculaire promenade en bateau de 8 minutes pour toute la famille. Dans 18 bateaux, 16 passagers peuvent simultanément embarquer pour un voyage plein d’aventures avec Bartholomeus van Robbemond. Plus de 100 personnages dotés d’une technologie de pointe et aux mouvements fluides donnent vie à une colonie indonésienne avec d’innombrables pirates dans le quartier hollandais d’Europa-Park.

Données technique de l’attraction:

Ouverture : 28 juillet 2020
Durée des travaux : 24 mois
Surface de reconstruction : 14 319 m2
Volume de reconstruction : environ 100 000 m3
Surface de Batavia : 7 000 m2
Volume de Batavia : 50 000 m3
Surface aquatique : 2 500 m2
Volume aquatique : 2 000 m3 (1 800 000 litres)
Thématisation : Pays-Bas, pirates, Indonésie
Animatroniques : plus de 100 dont 8 de l´attraction d´origine
Longueur du parcours : environ 500 m
Durée du parcours : environ 8 min
Véhicules : 18 bateaux à 16 places
Capacité : 1 800 personnes/h
Constructeur : Mack Rides GmbH & Co. KG
Longueur des câbles posés : environ 300 000 m
Puissance de la ventilation : 81 600 m3/h
Extraction de fumée : 32 détecteurs et 300 points d’extraction
Puissance du système anti-incendie : 15 000 l/min à une pression de 10 bars
Décoration originale d’Indonésie : plus de 8 tonnes

Description de l’aventure:

Lentement, le soleil se couche derrière les façades en bois de la ville portuaire de Batavia et baigne les maisons dans une lumière dorée. Mais l’image pittoresque est trompeuse. Les pirates sont en ville ! Bartholomeus van Robbemond et Diablo Cortez se livrent une course spectaculaire à travers l’Indonésie. L’objet de leur désir est une dague magique qui rend son propriétaire invulnérable : le « Tigre de feu » !

Le voyage commence aux Pays-Bas, dans une taverne hollandaise. Quelques heures auparavant, des pirates et des ivrognes malfaisants y ont sévi. Des chopes de bière à moitié vides et renversées sont posées sur les tables en bois sombre, un lustre est suspendu de travers au plafond. Il sent l’eau-de-vie, le grog et la sueur. Des tonneaux de bière vides, des tables et des chaises retournées témoignent d’une fête sauvage, où les pirates avaient l’habitude de prendre un bon coup derrière le cache-œil. Juste derrière le bar se trouve une authentique brasserie où la meute fait des provisions : les tonneaux de bière s’empilent jusqu’au toit.

La visite se poursuit dans une pièce mystique. Les murs sont couverts d’innombrables cartes terrestres et maritimes du monde entier, on trouve partout des objets exotiques : une véritable collection de souvenirs.

Soudain, Bartholomeus van Robbemond se tient devant les visiteurs. Il leur raconte sa mystérieuse quête de la légendaire dague du « Tigre de feu » à l’aide d’une carte au trésor magique et les invite à l’accompagner dans son aventure.

Devant l’écluse, des bateaux attendent déjà les audacieux passagers qui veulent suivre le pirate. Les ancres sont levées.

Ohé Capitaine ! Un voyage passionnant commence. Sera-t-il dangereux ?

À peine parti, le navire se dirige déjà vers une violente tempête. Les vagues se soulèvent, des éclairs illuminent le ciel noir, d’où un grondement menaçant se fait entendre. De fortes pluies tombent sur le pont. Le gréement grince dangereusement sous le poids du vent. Soudain, le bateau se dirige vers un mur de brouillard d’un mètre d’épaisseur et plonge dans les profondeurs. Mille sabords ! C’était éprouvant. La tempête a conduit les aventuriers dans une gorge indonésienne. Le bateau de van Robbemond n’a pas survécu à la tempête. L’épave est échouée sur le côté.

Des chutes d’eau à couper le souffle se déversent des deux côtés. Les divers

bruits et odeurs de la jungle sont enivrantes, on peut entendre les singes et les oiseaux. En arrière-plan, on aperçoit d’énormes navires, dont le bateau de Cortez. Van Robbemond est à la recherche de la carte magique qui lui indiquera le chemin du « Tigre de feu ». Le pirate, accompagné de son drôle de camarade Jopie, une loutre insolente, espère la trouver dans le village voisin.

Entre-temps, c’est l’aube. Les habitants de la ville sur pilotis se préparent pour le marché. Il y a beaucoup d’agitation dans les rues. Le doyen du village raconte des histoires passionnantes à la lueur des bougies, entouré de sprats. Des enfants naïfs l’écoutent en silence. Bartholomeus van Robbemond profite de l’occasion pour négocier la poursuite de son voyage en emportant le reste de ses trésors.

En avant pour une expédition sauvage ! Les visiteurs s’approchent désormais d’une bataille de pirates. Les canons grondent dans les airs, les mâts des navires coulés s’alignent sur le chemin. Seuls les drapeaux à tête de mort flottent encore au vent. Ici, il y a plus d’un pirate qui passe par-dessus bord. On aperçoit également van Robbemond : il doit faire attention, Diablo Cortez s’est faufilé à bord de son bateau. Après un duel effréné, il les pousse à l’eau, lui et Jopie. Le navire des aventuriers, qui observent la scène, peut tout juste faire demi-tour et contourner le champ de bataille indemne.

Yo-ho-ho ! Ouf ! Les habitants de Batavia ont sorti van Robbemond et sa loutre de l’eau et leur ont sauvé la vie. Derrière les épais remparts de cette ville sécurisante et dynamique, de joyeuses festivités attendent les passagers. Des chansons de marins indonésiennes résonnent dans les rues et les pichets du meilleur rhum passent de main en main. Mais Batavia n’est pas un lieu de divertissement pour tout le monde : beaucoup de capitaines pirates sont prisonniers ici, derrière des barreaux. C’est là que van Robbemond atterrit et ne peut qu’espérer sa libération.

Le bateau à peine reparti, le brouillard humide de la jungle indonésienne enveloppe ses occupants. Lentement, la barque navigue à travers une jungle verte et luxuriante. Un profond grondement jaillit de la forêt vierge. Au loin, on peut reconnaître le visage déjà familier de van Robbemond, qui l’emporte dans le combat final contre son adversaire Cortez. Quelques mètres seulement le séparent de son butin, la dague magique, qui semble être en apesanteur au milieu d’un temple. Son pouvoir est évident : le vénérable édifice semble vibrer. Le pirate s’approche à pas rapides.

Arr ! Ce fut un voyage fatigant. Mais il a réussi. Le « Tigre de feu » est entre ses mains. Rapidement, Bartholomeus van Robbemond le met dans son coffre au trésor. Les pouvoirs de la dague sont trop dangereux pour être laissés entre les mains de quelqu’un d’autre. Il est maintenant le gardien de l’artefact magique.

Lentement, les bateaux retournent au port. Alors qu’à bâbord, le restaurant indonésien « Bamboe Baai » et ses délicieuses épices d’Asie ouvrent l’appétit, à tribord une horde de singes avides, qui n’a cessé de tourner autour de Cortez, se réjouit des biens volés.

L’aventure sauvage est terminée ! Arrivés en sécurité au mouillage, les marins s’étreignent joyeusement. Le « Tigre de feu » est en sécurité. Le bien a gagné.